Suite à votre la lecture du dossier publié sur les cartes graphiques, je considérais qu’actuellement la carte Nvidia GeForce GTX 580 était de loin la meilleure carte sur le marché au niveau de performance pour FS X, mais la lecture de votre article a semé quelques troubles dans ma pensée. Pourriez-vous m'affirmer que les performances de FS X (ou le nombre de FPS obtenu) à configuration égale pour les deux cartes et en considérant qu’on utilise le boîtier Matrox tripleHead2Go pour l’utilisation de 3 écrans simultanés sont supérieures en utilisant une carte RADEON HD 6970 plutôt qu'une carte GeForce GTX 580 ? Je vous remercie d’avance de votre réponse. Cordialement,
@elia
Question intéressante… à laquelle il nous est malheureusement impossible de répondre ! Ce qui mérite quelques explications : l’article paru dans le numéro 206 portant sur les cartes graphiques n’était qu’un guide d’achat destiné aux utilisateurs souhaitant améliorer leur matériel. En aucun cas il ne saurait s’agir d’un banc d’essai complet avec des valeurs mesurées, pour la simple et bonne raison que nous ne disposons pas de toutes les configurations nécessaires et les outils (matériels et logiciels) pour vous donner ces valeurs. Mais une chose est sûre : pour la simulation, les performances seraient de la même grandeur avec ces cartes haut de gamme. Pour information, une de nos configuration de test (indiquée dans les pages du test du DCS : A-10C Warthog) nous donne pour FS X un framerate autour de 60 FPS avec un avion léger au-dessus d’une scène photoréaliste, et avec un trafic IA de 100%. Et pourtant la carte graphique employée est déjà ancienne (une nVidia GTS 275). Les différences constatées entre tel ou tel matériel haut de gamme se jouerait donc à 5 ou 6 FPS. Il ne faut pas perdre de vue que ces cartes haut de gamme sont avant tout conçues pour les jeux vidéo 3D, pas pour la simulation. Dans ce dernier domaine, la carte graphique n’est qu’un élément de la chaîne, alors que pour les jeux 3D de dernière génération c’est l’élément principal. Moralité : en simulation, il ne faut pas céder aux sirènes de la performance absolue, mais considérer son PC comme une machine homogène.