30 juillet 2014
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On pourrait croire que la période juillet / août est la plus calme de l’année, les travailleurs éreintés prenant un repos bien mérité durant cette période propice aux congés réparateurs. L’essentiel des informations de cette période de l’année se résumera-t-il à évoquer le marronnier du chassé-croisé des vacanciers sur les routes des vacances ? Dans le petit monde de la simulation, l’actualité aura été bien plus surprenante !
Car c’est en juillet que la licence Flight Simulator a changé de mains (voir notre chronique), alors même que X-Plane évolue en version 10.30 et se distribue de manière numérique. Sans être des révolutions, ce sont deux informations qui méritent notre attention. C’est d’autant plus étonnant que rien ne laissait supposer de telles annonces. Le petit monde de la simulation de vol ronronnait après plusieurs mois d’une actualité plutôt morose. A tel point que l’année 2014 ne verra pas son Mondial de la Simulation : la manifestation a été annulée devant le succès mitigé de la précédente édition. Dans un tel contexte, doit-on se réjouir des promesses d’avenir meilleur ou rester cyniquement spectateur des effets d’annonce ? Pour Micro Simulateur, aucune des deux postures n’est satisfaisante. Carpe diem ! Notre ligne de conduite est de profiter de ce dont on dispose déjà. Et c’est beaucoup : les éditeurs d’extensions nous surprennent encore avec des appareils toujours plus réalistes, des décors plus inventifs, des idées de missions nouvelles… S’il est légitime d’espérer toujours plus, toujours mieux (voire toujours moins cher), on perd de vue que l’on dispose déjà de produits dont on n’a même pas tiré la moitié du potentiel. S’il y a matière à se réjouir, c’est d’avoir déjà des logiciels et des extensions qui nous procurent des heures de plaisir. N’est-ce pas déjà satisfaisant ?
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30 juin 2014
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Paradoxe : c’est ce qui exprime le mieux la situation des utilisateurs de Flight Simulator X en 2014. D’un côté les extensions sont toujours plus perfectionnées, plus proches de la réalité. Ce n’est pas que l’aspect graphique qui est concerné, on parvient désormais à reproduire tous les systèmes embarqués (et leur fonctionnement), et même à retranscrire les étapes de préparation de vol jusqu’à la visite de l’appareil et son entretien. La simulation de vol ne se résume plus seulement à bouger un manche à balais pour constater ce qui se passe à l’écran, mais à raisonner comme le fait un vrai pilote. Dans le présent numéro, le test du Piper PA28 Cherokee accompagné du module Accu-Sim publié par A2A Simulations est emblématique de cette tendance à toujours se rapprocher de la réalité du terrain. D’autres éditeurs suivent ce chemin : on pense aux liners de PMDG ou Majestic Software, aux décors toujours plus précis… Même X-Plane s’y met, en devenant un support pour des applications de niveau professionnel. C’est le cas de l’Airbus A320 de QPAC, qui n’était pas destiné initialement à devenir une extension payante mais juste un support de développement pour ingénieurs.
Et le paradoxe, dans tout ça ? C’est que FS X a atteint ses limites structurelles. Conçu il y a huit ans déjà, alors que 3 Go de mémoire en 64 bits était le summum imaginable et que les bibliothèques d’extensions étaient encore basées sur ce qui se faisait dans FS 9, il se sent désormais à l’étroit. Mais peut-on vraiment le blâmer ? Ce serait comme reprocher à une voiture des années 40 de ne pas respecter les normes antipollution actuelles ! Alors dans l’attente d’une hypothétique relève, les utilisateurs doivent se contenter de compromis entre la qualité des extensions et les capacités du logiciel. Ne boudons pas notre plaisir pour autant, malgré ses limitations FS X est encore en mesure de nous procurer de très bons moments… Et le contenu de ce numéro estival devrait vous en convaincre !
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30 mai 2014
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L’événement nous avait échappé, nous avons heureusement été rappelés à l’ordre par un de nos lecteurs – Norbert, qui se reconnaîtra sans doute ! Effectivement, 2014 est une année riche en commémorations : les soixante-dix ans du débarquement en Normandie (auquel nous consacrons un plan de vol très particulier), le centenaire du début de la Grande Guerre, le huit centième anniversaire de la bataille de Bouvines… Mais dans le cadre de notre hobby, ce sont aussi les dix ans de bons et loyaux services de FS 2004 ! A vrai dire, célébrer ces dix ans dans notre numéro de juin, c’est prendre un peu de retard, puisque le logiciel fut lancé officiellement le 29 juillet 2003. Qu’on nous pardonne ce petit écart temporel.
Ce neuvième opus de la franchise Flight Simulator aura été le plus apprécié de toute la famille. Dix ans de carrière, peu de logiciels peuvent y prétendre – et c’est loin d’être fini ! Un succès qui s’explique par de nombreuses qualités : une ergonomie très étudiée, une publication sous la forme d’un produit fini et stable (un seul correctif publié, et encore, les modifications étaient minimes), une large bibliothèque d’extensions payantes et gratuites, une architecture permettant d’ajouter du contenu de manière aisée… FS 2004 aura marqué son époque et ses utilisateurs, on pourrait même dire qu’il aura plus fait pour la démocratisation de la simulation de vol que toutes ses autres versions réunies. Alors même s’il est un peu dépassé aujourd’hui, si ses graphismes souffrent de la comparaison avec les dernières nouveautés, si ses bases de données de navigation ne sont plus à jour, on continue à l’aimer, comme une voiture de collection, soigneusement remisée dans un garage et que l’on ne sort que de temps en temps pour ressentir le souffle de la nostalgie. Et ça fait du bien !
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2 mai 2014
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Depuis la parution du premier numéro de Micro Simulateur, il y a vingt-deux ans (déjà !), les équipes successives ont toujours soutenu les vertus pédagogiques de la simulation. Cela peut sembler une évidence, dans la mesure où les premiers simulateurs de vol, dans les années 50, furent conçus pour enseigner les rudiments du pilotage aux aspirants de l’U.S. Air Force. Aujourd’hui encore il est bon de rappeler ce qui fait la différence fondamentale entre un simple jeu vidéo, qui ne sert qu’aux loisirs (sans connotation péjorative de notre part, c’est déjà beaucoup que de permettre de se distraire !) et la simulation dont les possibilités dépassent ce seul objectif. Evidemment, vue sous cet angle pédagogique, elle est une porte d’entrée vers une pratique réelle, qu’il s’agisse de piloter un avion, conduire une voiture de course, skipper un voilier… Disponible dès que l’on allume l’ordinateur, pour un coût dérisoire par rapport aux pratiques en réel, la simulation donne à un large public les moyens d’expérimenter des contextes variés.
Mais son intérêt ne se borne pas à assimiler le fonctionnement de machines spécialisées, d’équipements embarqués ou à reproduire les gestes du réel. En cette année riche en commémorations, nous avançons l’idée qu’elle est aussi un support de compréhension historique. Car en faisant revivre des matériels disparus, ou en reproduisant des situations du passé, elle permet de plonger dans l’action et d’envisager la réalité du terrain parfois mieux que par des témoignages d’époque. Nos articles du mois sur World War 2 Online et la bataille de la mer des Philippines illustrent l’idée que l’on peut dépasser le stade du jeu défouloir pour appréhender les événements marquants de l’histoire, presque comme un observateur à bord d’une machine à voyager dans le temps. Il n’est nullement question de remplacer les ouvrages spécialisés, encore moins les enseignants émérites, mais c’est un aspect de notre discipline qui mériterait d’être pris en compte par quelques historiens. Peut-être qu’un jour les universités y consacreront une chaire !
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27 mars 2014
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C’est tout à fait officiel et cela n’a rien d’un poisson d’avril : le 8 avril 2014, Microsoft arrête le support technique de son système d’exploitation Windows XP. Concrètement, il n’y aura plus d’amélioration ni de correctif apportés à ce vétéran, après dix ans de bons et loyaux services. Car il faut reconnaître que c’était là un des meilleurs systèmes réalisés par le géant du logiciel, et particulièrement plébiscité par les simmers. Sa popularité était surtout due à sa grande stabilité, comparée à celle de son abominable prédécesseur Windows Millenium (surnommé « Windows Ecran Bleu » à cause de ses innombrables plantages) et son successeur peu séduisant Windows Vista.
Ainsi va la vie du monde informatique, les systèmes changent et les matériels avec eux. On entend déjà l’antienne « on nous force à tout changer, c’est une histoire de gros sous… ». Et si c’était justement l’occasion de passer à un matériel plus performant ? On oublie vite que l’on a déjà dû suivre les évolutions techniques : combien d’entre-vous pouvaient encore prétendre profiter pleinement d’un FS98 sous Windows du même nom en 2008, soit dix ans après les sortie des deux produits ? Le changement est dans l’ordre des choses, même pour le petit monde très conservateur des pilotes virtuels. S’il n’y a aucun impératif technique à abandonner XP (les PC ne vont pas s’arrêter brusquement le 9 avril au matin !), reconnaissons qu’après 10 ans il commençait à ne plus pouvoir assurer certaines fonctions : pas plus de 3 Go de RAM, des pilotes logiciels de plus en plus rares, des mises à jour de logiciels tiers abandonnées… Faire le grand saut vers Windows 7 (voire 8.1 pour les plus téméraires !) deviendra de toute façon inévitable – un peu comme il fallut abandonner le transport transatlantique sur de luxueux paquebots pour privilégier les jets commerciaux. Dans quelques années, il faudra probablement abandonner un hypothétique Windows 15 pour la version 16 !
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27 février 2014
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La simulation à la télé ?
Les plus téléphages de nos lecteurs n’auront pas raté ce spot publicitaire diffusé sur de nombreuses chaînes et mettant à l’honneur la fabrication de cockpit à domicile, avec l’aide bienveillante d’un célèbre moteur de recherche (et pour ceux qui auraient échappé à cette réclame, on la trouve facilement sur les sites de vidéo en ligne). Forcément, lors du visionnage, une petite lumière s’allume dans l’esprit du simmer : comment, on parle de simulation dans les pubs ? Notre passion va-t-elle devenir une discipline médiatisée ? A la rédaction, nous nous en sommes même amusés et avons décliné le concept : à quand « à la recherche du nouveau simmer » ou un « Virtual Pilot Academy » en prime time ? Avec évidemment votre serviteur parmi les membres du jury…
Plus sérieusement, nos entretiens avec Laurent Aigon, protagoniste de ce petit film (car ce n’est pas une fiction !) ont bien fait ressortir l’idée que la simulation est devenue un loisir noble. Au-delà de l’effet « vu à la télé », ce spot est la reconnaissance d’une passion qui va au-delà du simple jeu vidéo et se transforme en rêve. Nous avons souvent insisté sur ce dernier terme dans nos pages, car c’est une dimension fondamentale dans toute passion – et elle s’exprime parfaitement en simulation. Que ce soit pour piloter un avion, une voiture de prestige (voir notre test d’Assetto Corsa sur ce dernier point) ou tout autre véhicule, la simulation a cette particularité de faire partager des expériences uniques sans que l’on ait à tricher sur ses capacités ni à chercher à séduire un public. Qu’elle se pratique en solo ou en réseau, elle laisse toujours une place à l’imagination sans pousser à la performance. En simulation, par le jeu des réglages et des options, chacun demeure son propre juge… et sa propre star. Vous en connaissez beaucoup des passions offrant une telle liberté ?
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29 janvier 2014
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P3D V2 : un nom qui ressemble à un code secret, une appellation réservée aux initiés… La dernière mouture du logiciel estampillé Lockheed Martin a déjà fait couler beaucoup d’encre depuis sa parution officielle en décembre 2013 Mais plus que les questions liées aux performances, aux compatibilités avec le matériel existant ou à une future traduction, la principale interrogation qui préoccupe les simmers est celle de savoir si Prepar3D dans sa version 2 est le digne successeur de FS X. Et dans l’état actuel des choses, il semble bien qu’il soit trop tôt pour répondre par l’affirmative. En premier lieu à cause de la politique de l’éditeur qui persiste à considérer son programme comme un outil de développement et non comme un jeu vidéo (eh oui, ils sont encore nombreux ceux qui confondent les jeux sur console et la simulation, même chez les professionnels !) et donc le réserve à une élite… du moins ce que Lockheed Martin considère comme une élite, les simmers apprécieront cette forme de mépris. Ensuite parce que P3D est encore trop proche de FS X. Si les améliorations sont nombreuses et appréciables, les principales lacunes du simulateur original n’ont pas été comblées : on aurait aimé l’intégration des grands aéroports ouverts depuis 2007, un ATC plus pertinent… En fait, c’est un FS 10 1/2 plutôt que 11 !
Ne boudons pas pour autant notre plaisir : on peut imaginer que P3D remporte malgré tout un vrai succès, et que son éditeur décide enfin de franchir le pas vers une politique « Grand public ». Tout le monde pourra y gagner. C’est le souhait que nous formulons pour cette année 2014 !
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30 décembre 2013
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L’événement fit peu de bruit à l’époque, et il ne fait guère de doute que son centenaire ne sera guère célébré dans le monde. L’année 1914 marque pourtant un tournant décisif dans l’histoire de l’aviation. Certes des étapes avaient déjà été franchies et des exploits accomplis : les frères Wright, Louis Blériot, Roland Garros… D’autres allaient suivre, ne serait-ce que par la guerre approchant qui allait démontrer que toute nouvelle invention pouvait être adaptée pour participer à la boucherie générale (les drones de 2014 n’ont même plus besoin de pilote à bord pour semer la destruction, c’est ce qu’on appelle le progrès). Le grand bond accompli en 1914, le premier janvier pour être exact, ce fut l’établissement de la première liaison commerciale régulière. Ce n’était pas le premier passager payant : d’autres excentriques s’étaient déjà offert des sensations pour monter dans ces drôles de machines contre espèces sonnantes et trébuchantes. Ici, le pilote annonçait les heures de départ et d’arrivée, un trajet précis d’un point A à un point B, un vol retour, une masse à ne pas dépasser… Bref tous les éléments d’un vol commercial. La distance était modeste, 23 kilomètres seulement, les passagers étaient plus des curieux que des voyageurs, mais durant cinq mois la première compagnie aérienne poursuivit cette liaison.
Il était donc normal que Micro Simulateur rende hommage à ces pionniers du siècle dernier en célébrant à sa manière ce centenaire par un petit plan de vol. Mais d’autres pionniers sont aussi à l’honneur : le DC-8 qui à sa manière participa aussi à la démocratisation du transport aérien, un TBM 850 qui permet de voyager dans des conditions de confort réservées aux VIP, jusqu’à un trajet en 777 tout automatisé. Il s’en est passé des choses en cent ans ! Alors bonne année 2014 à tous nos lecteurs, nos meilleurs vœux pour cette année éminemment aéronautique !
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29 novembre 2013
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Au pied du sapin…
C’est une tradition de décembre, on décore le sapin, on le pare de moult décorations, et on attend le matin du 25 décembre pour découvrir si les souhaits que l’on a formulés ont bien été entendus. Et malheureusement, dans le domaine de la simulation, 2013 n’a pas vraiment tenu ses promesses ! Certes l’année nous a réservé quelques bonnes surprises : un FTX Global qui donne au monde virtuel un aspect plus cohérent et réaliste, des Boeing 777 impeccables aussi bien pour X-Plane (par Flight Ramzzess Aviation Design) que pour FS X (PMDG), des décors VFR saisissants de réalisme, un transporteur régional MJC-8 que l’on attendait pas… En revanche, puisqu’on parle d’attente, on espérait un successeur valable à FS X et toujours rien à l’horizon. Le vénérable simulateur a déjà sept ans, l’âge de raison, et il devient effectivement raisonnable de se poser des questions sur l’avenir de la discipline. Non pas qu’elle risque de disparaître, nous sommes totalement confiants sur la pérennité de cette passion qui anime nos lecteurs et notre équipe. Mais elle risque de s’essouffler par manque de nouveaux défis à relever, et par les limitations d’un logiciel conçu il y a déjà trois versions de Windows (en informatique, on utilise des mesures chronologiques très spécifiques, et le Windows en fait partie !). Ne perdons pas espoir, peut-être qu’au pied du sapin nous aurons la surprise de voir surgir non pas un nouveau simulateur – il ne faut pas trop croire au Père Noël – mais au moins les signes d’un futur simulateur au goût du jour...
Enfin, en cette période si particulière, toute l’équipe de Micro Simulateur vous présente ses meilleurs vœux pour les fêtes de fin d’année. Nous vous donnons rendez-vous en 2014 : dans l’horoscope chinois, ce sera l’année du cheval, on peut donc s’attendre à faire vrombir les moteurs !
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29 octobre 2013
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Il est toujours risqué de céder aux effets de mode – en simulation comme dans tous les autres domaines. La mode, c’est ce qui se démode, selon la formule consacrée, et nous avons vu disparaître bien des nouveautés annoncées comme révolutionnaires et indispensables par leurs promoteurs pour sacrifier trop rapidement aux effets d’annonce. Il ne faudrait cependant pas confondre effet de mode et évolution du secteur. Cette dernière est naturelle, qu’on le veuille ou non, et même les simmers (catégorie très conservatrice, sans aucune connotation péjorative, nous en sommes !) les plus acharnés sont amenés à changer leurs habitudes et adopter de nouveaux comportements. Que ce soit en matière de logiciels ou de matériel, on n’a pas d’autre choix que de suivre le mouvement. Aujourd’hui, la combinaison de FS X et/ou X-Plane 10 sous Windows 7 64bits est devenu la norme ; même si nombre de simmers (dont nous faisons partie) continue d’exploiter FS 9 sous Windows XP, combien de réfractaires aux évolutions peuvent encore prétendre voler sous FS et Windows dans leur version 98 ?
Evidemment Micro Simulateur doit parvenir à faire la différence entre les effets de mode (souvent motivés uniquement par des raisons mercantiles) et l’évolution naturelle de notre discipline. Et c’est justement pourquoi nous insistons chaque année pour participer au Mondial de la Simulation, vécu comme un laboratoire grandeur nature de ces évolutions. De l’édition 2013, nous avons retenu que le futur de la simulation passerait non plus uniquement par les logiciels, mais par les matériels, plus particulièrement par les systèmes d’affichage et les cockpits personnalisés. Lorsqu’un constructeur ou un lecteur en parle, c’est un cas isolé ; s’ils sont des dizaines à évoquer le sujet, on ne peut l’ignorer ! Dès le mois prochain, nous entamerons donc une série de dossiers sur ces thèmes qui vous tiennent à cœur, sans pour autant négliger nos rubriques habituelles. Une forme d’évolution dans la continuité, à découvrir dès notre numéro de décembre !
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