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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 14:38

Si vous avez lu notre éditorial du numéro de juillet ("spoiler alert", comme disent les chroniqueurs cinéphiles !), vous aurez compris que l'actualité nous joue des tours... Et DCS World nous a encore pris de court pour ce numéro ! Entre l'envoi chez l'imprimeur du magazine et sa parution en kiosque ou l'arrivée au courrier chez les abonnés, deux mises à jour majeures ont eu lieu, notamment une qui intègre désormais le F/A-18C et le Golfe Persique au contenu compatible pour la version 2.5 standard (et non la 2.5.2 OpenBeta comme c'était le cas dans les deux tests présentés). Et bien évidemment avec un lot d'améliorations, dont un miroir d'appontage fonctionnel pour les CVN à l'usage du Hornet.

Dès lors, quelle attitude devons-nous adopter : soit attendre qu'un projet soit suffisamment abouti pour en parler, ce qui concrètement se solderait par des tests publiés six mois après la mise sur le marché des extensions DCS, soit comme nous avons fait jusqu'ici un test d'une "Early Access" avec les risques que cela comporte en termes d'obsolescence des informations à peine le magazine imprimé ? C'est d'autant plus rageant que pour ces deux produits, et malgré nos demandes insistantes, Eagle Dynamics / The Fighter Colection n'ont pas réussi à nous fournir des versions des produits, que nous avons du payer de notre poche et sans bénéficier des informations sur les développements en cours...

Nous avons pris des pincettes pour le test, mais il est frustrant de passer du temps sur un add-on de la trempe du F/A-18C (ce n'est pas un jouet !) et de rédiger un long compte-rendu pour que le test imprimé soit déjà dépassé par la réalité au moment de sa parution... Qu'en pensez-vous : devrions-nous attendre systématiquement ou, avec les précautions d'usage, livrer nos premières impressions à chaud dès la commercialisation d'un produit ? Quoi qu'il en soit, cela ne change rien à nos conclusions concernant les performances de vol du Hornet !

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 14:23

Comme évoqué dans l'article pratique sur les missions de nuit dans l'AV-8B sous DCS World, les captures d'écran imprimées ne rendent pas forcément bien l'impression que l'on a dans un cockpit en pleine nuit... D'où l'idée d'ajouter quelques captures sur le blog pour en prendre plus conscience... Ces captures ont été prises en mission lors de la rédaction de l'article, et ne souffrent d'aucune retouche ni d'effet (assombrissement ni éclaircissement).

Ici en mode FLIR activé mais sans projection sur le HUD : on ne voit vraiment rien à l'extérieur...

 

FLIR activé et projeté, au-dessus de la mer : au moins on voit l'horizon.

Les JVN de jour : pas vraiment utiles !

 

Les JVN de nuit, à comparer avec la capture précédente : hors du champ visuel des jumelles, on ne discerne rien dans la nuit.

 

Le cockpit avec les JVN, on ne peut pas vraiment lire les instruments.

Le FLIR affiché sur le MPCD de droite : sur une image fixe c'est assez peu lisible, mais en mouvement on identifie mieux le terrain devant l'appareil.

FLIR projeté sur le HUD au-dessus de la Normandie, les lignes d'arbre du bocage sont bien visibles.

 

Ciblage au Maverick : pas évident de trouver même une petite cible !

 

Dernière image de l'article : on devine la piste dans le brouillard, dans la partie inférieure du HUD.

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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:30
Editorial 260 : en 2 ou en 10 ?

Les éditeurs d’extensions auraient-ils épuisé le segment des petits monomoteurs de tourisme ? Étrangement, la mode est aux multi, particulièrement les appareils équipés de deux propulseurs. C’est ainsi que l’actualité du mois fait la part belle au Piper Navajo (deux moteurs à pistons), à l’Embraer 110 (deux turbopropulseurs), le DC-9 (deux turboréacteurs) et même le Panavia Tornado (deux puissants propulseurs). Pour un peu, il ne manquerait plus qu’un hélicoptère de type Kamov avec ses deux rotors contrarotatifs pour achever cet inventaire de duos !

Le nombre deux n’est pourtant pas celui qui marque le plus les esprits en ce mois de rentrée : tous les yeux se tournent vers le 10, plus particulièrement celui qui qualifie la dernière version en date de Windows. Sans être révolutionnaire, le nouveau système d’exploitation est moins intimidant que le précédent, Microsoft semblant avoir fait machine arrière pour l’interface (argh, ces tuiles, ces menus qui surgissent des bords de l’écran, ces applications trop nombreuses et trop colorées…). On retrouve désormais les grandes lignes du système classique institué depuis Windows 95 (vint ans déjà !), plus lisible et ergonomique. Le vieux débat sur l’évolution des outils informatique – doit-on choisir ou subir ? – est relancé, avec en priorité pour nous la délicate question des compatibilités des logiciels existants. Il faudra du temps pour établir la liste de ce qui fonctionne correctement et de ce qui provoque un plantage systématique. Mais on ne pourra y échapper (voir notre chronique sur le sujet, p. 82). En tout état de cause, cette refonte nous donnera l’occasion de faire le point dans notre prochain hors série sur lequel nous travaillons depuis déjà deux mois. Mais chut, ce sera une surprise, patientez encore un mois !

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8 juin 2015 1 08 /06 /juin /2015 16:04
Editorial 257 : FS X, déjà du passé ?

Ces derniers mois, plusieurs lecteurs nous ont fait part de leurs craintes au sujet de l’avenir de FS X et de sa compatibilité avec Windows 10, dont la mise en service est prévue cet été. Il faut bien avouer qu’après les désagréments rencontrés sous Vista et Windows 8, les craintes sont légitimes… Alors FS X fonctionnera-t-il sous ce nouveau système d’exploitation ? A défaut d’avoir pu tester cette association, nous ne pouvons nous borner qu’à une réponse de Normand : oui… et non. Oui, car avec Steam Edition, il est fort probable que la compatibilité sera suivie. Non, car bien des extensions publiées les années passées ne seront pas capables de supporter le nouvel OS. Il faut bien comprendre que FS X est paru il y a huit ans, une éternité dans le monde de l’informatique. Depuis, on a vu passer cinq OS (XP, Vista, Seven, 8, 8.1), trois versions de DirectX, la généralisation du 64 bits… Il faut bien comprendre que les développeurs de logiciels PC ne peuvent trop anticiper sur l’avenir, toujours incertain dans le domaine des nouvelles technologies. C’est peut-être ce qui explique le succès des consoles de jeux vidéo : elles sont conçues dès le départ pour une durée de vie de deux ou trois ans, et tout ce qui est publié pour l’une ou l’autre restera compatible quoi qu’il arrive.

Dans ces conditions, il nous semble inutile de déplorer que « c’était mieux avant ». Car avant, et bien… c’était avant ! Nous ne jouerons pas les Cassandre en annonçant ce que sera le futur de la simulation de vol. Peut-être passera-t-on obligatoirement par des tablettes, des consoles, des systèmes de visualisation portables, ou peut-être pas. Mais plutôt que regretter le passé ou craindre l’avenir, profitons du présent : il y a encore de belles choses à faire dans FS (2004 ou X) comme dans X-Plane, et nous vous en faisons partager l’expérience chaque mois !

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 11:37
Editorial 254 : grand nettoyage !

Nous voici au mois de mars, l’hiver touche à sa fin (théorique) et doit laisser place à un printemps plein d’espoir, de jours rallongés et de soleil plus présent. C’est aussi l’occasion du grand ménage, ce qui se manifeste concrètement dans notre cas par un reformatage du disque dur et une réinstallation propre de FS X. Car immanquablement, même avec beaucoup de précautions, un FS accumule au fil du temps des fichiers DLL, des extensions XML et des petits bouts de décors qui résistent aux désinstallations des modules complémentaires, malgré les procédures de désisntallation propres. On aura beau être minutieux et méthodique, on sera toujours confronté à une gestion de FS X qui n’a rien d’une science exacte. La situation est encore pire pour ceux qui multiplient les usages de leur ordinateur familial, installant de multiples logiciels, téléchargeant à loisir, mettant à jour les composants… On ne le dira jamais assez : un FS propre est un FS stable ! Restera ensuite à réinstaller le simulateur (comptez une demi journée) puis les extensions indispensables (une autre demi journée), puis une petite heure pour refaire tous les réglages auxquels on était habitué… Un vrai chantier !

Peut-être que dans cet exercice précis l’édition Steam de FS X simplifiera les choses : ses options de désinstallation locale, de réparation automatique et de réinstallation en téléchargement peuvent sensiblement améliorer la vie du simmer. Mais quid des extensions installées dans cette livraison particulière (surtout en cas de réparation automatisée des fichiers) ? Même si de plus en plus d’éditeurs annoncent la compatibilité de leurs produits avec cette nouvelle évolution de FS, des doutes subsistent. Alors courage, préparons les sauvegardes de rigueur, armons-nous de patience et en avant pour le grand nettoyage de printemps !

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 12:44

Pour ce début d’année, vous avez le choix ! L’aviation lourde est représentée par le Boeing 747-400, qui même s’il est désormais supplanté par l’A380 demeure dans l’imaginaire collectif l’archétype du gros transporteur de passagers. Vous préférez l’aviation légère, voire sportive ? Alors vous aimerez le FK14 Polaris (et sa version décapotable LeMans), le Victa Airtourer, le Lancair Legacy… Autant d’occasions de se faire plaisir en VFR, mais aussi d’apprendre. On n’insistera jamais assez sur l’aspect pédagogique des petits appareils. Car s’ils semblent moins porteurs (sans jeu de mot) que les gros avions de ligne, ils n’en demeurent pas moins un passage obligé – ou qui devrait l’être – pour découvrir le pilotage, apprendre les instruments, assimiler les règles élémentaires de l’aviation. Ce n’est pas un hasard si tous les pilotes professionnels, civils ou militaires, débutent par ces petites montures. L’objectif de la simulation étant de coller au réel, nous vous incitons vivement à en faire autant et à vous frotter régulièrement aux ULM, appareils de tourisme et autres petits modèles. De plus il faut bien avouer que de temps en temps, une petite balade VFR à faible vitesse au-dessus d’un décor de rêve, loin des routes encombrées, ça fait du bien !

Cet éditorial de janvier ne serait pas complet sans l’indispensable liste de bonnes résolutions. Tout d’abord, nous ferons attention aux images, puisque dans le reportage sur HAIDF du mois dernier nous avons identifié un cockpit d’Airbus comme étant celui d’un 737 (pan sur nos doigts, toutes nos excuses). Ensuite nous ne nous plaindrons plus (ou alors moins !) de l’absence d’un successeur officiel à FS X, il y a désormais suffisamment d’alternatives pour se faire plaisir. De même, nous prendrons en compte les nombreuses réponses à notre enquête lecteurs pour toujours améliorer le magazine que vous souhaitez lire. Enfin, last but not least comme disent nos amis anglo-saxons, nous vous présentons nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année qui s’annonce riche en découvertes !

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 12:40

couv251

C’est une tradition bien ancrée, le numéro de décembre est l’occasion de faire un bilan de l’année écoulée. En simulation, 2014 n’aura pas été si morose qu’on l’avait craint. Certes on attend toujours un successeur valable à un FS X en bout de course. Ce n’est pas P3D V2 qui ravira ce titre envié de dauphin, quelle que soient ses qualités, ni X-Plane qui malgré ses évolutions successives et une version 10.30 stable ne conquiert pas encore un public trop habitué à FS. Résultat, les éditeurs se rabattent sur les rares thèmes encore non traités. Les scènes sont à l’honneur dans cette catégorie, ce qui nous permet de célébrer cette fin d’année avec des destinations de choix : passerez-vous le réveillon sous les tropique à Fort-de-France, ou sous le cercle polaire à Tromsø ? A moins que vous ne préfériez la Floride et ses parcs d’attraction, ou plus modestement une petite virée languedocienne à Perpignan ? Les décors priment désormais sur les avions. Tant d’aéronefs variés ont été modélisés pour les simulateurs existants qu’ils engorgent bon nombre de hangars virtuels.

En fait, les nouveautés sont venues d’où on ne les attendait pas : DCS World, avec son lot d’extensions s’est imposé comme la référence actuelle de simulation militaire ; dans un autre domaine, Assetto Corsa a conquis tous ceux qui considèrent d’abord l’automobile comme un plaisir, avant d’être une compétition. On pourrait citer quelques autres exemples, on retiendra surtout que la simulation – comme la nature – a horreur du vide. Une place laissée vacante donnera à quelques développeurs talentueux l’occasion de présenter leurs réalisations et séduire le public des passionnés. Voilà de quoi méditer pour les longues soirées d’hiver !

 

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 12:16

couv250

Pour ce numéro 250 (déjà !), nous avons fait face à un choix difficile : quel appareil mettre en avant ? Car la simulation nous a gâtés en ce mois de novembre avec deux extensions reproduisant des appareils radicalement opposés mais qui poussent le réalisme à un point rarement atteint. A ma gauche, un Airbus 318/319 signé Aerosoft qui rivalise avec des réalisations pour professionnels de l’aviation, aux systèmes embarqués très sophistiqués ; il tombait à point nommé pour notre troisième volet sur le pilotage des Airbus, aux côtés de ses homologues Wilco et QPAC. Le choix de modules externes à FS montre peut-être lavoie à ce que sera le futur de la simulation informatique, à savoir un logiciel de base mais des fonctions avancées sous-traitées par d’autres programmes. A ma droite, un MiG-21 sorti tout droit des années 70. Equipements rustiques sans être rudimentaires, complexité des procédures, limitation propres à l’électronique et aux armements de l’époque, l’éditeur Leatherneck Simulation est parvenu à relever le défi de retranscrire en virtuel un des appareils les plus utilisés au monde. Pour différents que soient ces deux avions de légende, leurs déclinaisons virtuelles se rejoignent sur un point : pour quelques dizaines d’euros, on peut désormais prendre conscience de ce qu’est l’ambiance dans un cockpit d’avion et mettre en œuvre toutes les procédures réelles, sans quitter son siège d’ordinateur. A y réfléchir, ce n’est pas qu’une question de technologie : il est rassurant de voir qu’au bout de 250 numéros, la magie opère toujours !

 

Afin que le plaisir de voler perdure, ne manquez pas notre hors-série 34 « spécial plans de vol » qui propose une nouvelle façon de préparer ses aventures – nous vous en laissons la surprise. Ne manquez pas non plus notre enquête lecteurs (du 4 novembre au 10 décembre). Plus les réponses seront nombreuses et sincères, plus nous aurons de pistes pour vous proposer de futurs numéros du magazine toujours plus en phase avec vos souhaits.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 15:19

 

 

couv249Bien que Micro Simulateur n’ait pas la vocation d’un support technique en ligne, il nous arrive évidemment de recevoir des appels à l’aide de simmers en détresse. Et parmi les nombreuses phrases qui reviennent régulièrement dans ce contexte, il en est une qui remporte la palme de la fréquence : « vous avez parlé de tel produit, mais chez moi ça ne marche pas ». Qu’il s’agisse de logiciel, d’extension, de matériel, voire de site Internet indépendant de la rédaction, la même remarque est exprimée. Parfois même avec l’accusation sous-jacente que nous n’avons pas testé correctement, voire que nous ferions preuve d’une grande complaisance envers les éditeurs et fabricants…

Le problème est ailleurs. Même si l’informatique domestique a fait d’énormes progrès en ergonomie et en efficacité, ce n’est toujours pas une science exacte. Car il y a toujours une inconnue impossible à définir : l’intervention de l’utilisateur. Tel produit ou tel matériel peut parfaitement fonctionner impeccablement sur un PC donné, et provoquer plantages a répétition sur un autre. Il n’y a pas deux ordinateurs identiques, sauf à effectuer chaque installation sur une machine neuve (et encore). L’accumulation de modules utilitaires, les traces résiduelles de produits désinstallés, les logiciels tiers (antivirus, pilotes graphiques, messageries Web…) sont autant de sources de tracas. Notez bien que nul n’est à l’abri, nous sommes les premières victimes de cette loi de l’ennui maximum (pour rester poli !). En informatique, et donc en simulation telle que nous la pratiquons, le cas général n’est que la somme d’une quantité de cas particuliers. Quand ça marche, c’est général, quand ça plante, c’est particulier (le contraire serait contre-productif !). Il n’y a pas de solution universelle, juste quelques usages de sécurité élémentaire : nettoyer son PC des outils obsolètes ou indésirable, conserver une machine stable (ce qui veut dire n’installer que les mises à jour dont l’utilité est avérée), ne pas surcharger son FS ou X-Plane d’extensions trop exotiques… Mais ce ne sont là que des conseils généraux !

 

 

 

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28 août 2014 4 28 /08 /août /2014 11:45

 

couv248 Doit-on en parler ou pas ? Toutes les rédactions ont connu ce problème à un moment où à un autre. Ce peut être la publication de la photo d’un people peu à son avantage (et la période estivale n’a pas été chiche en la matière, à en croire les gros tirages de nos confrères spécialisés !) ; ou bien la mise en cause d’un haut responsable qui peut porter atteinte à la réputation du support en question ; la liste s’étend à l’infini et s’adapte à chaque magazine selon ses sujets de prédilection. Pour notre part, c’est le logiciel DCS World qui nous a posé un cas de conscience. Pas forcément dans le sens où on l’attendait : certains esprits pourraient penser que mettre en avant un avion du troisième Reich est suspect, mais ça n’est pas notre cas – d’autant qu’Eagle Dynamics a eu la bonne idée de ne pas le munir de ses emblèmes nazis. Ce sont l’avion et ses performances qui nous intéressent, pas son idéologie.

Le problème vient plutôt du contexte de ses extensions Flaming Cliffs 3 / Combined Arms / A-10C. Le champ de bataille virtuel est situé dans une région limitrophe de la Russie, où justement, depuis quelques mois, les passions et ressentiments se sont mués en opérations militaires. Le drame des populations civiles peut-il être traité dans un jeu vidéo ? Pour notre part, il a toujours été clair que la réponse à cette question précise est négative. On ne joue pas avec la guerre. En revanche on peut la comprendre, on peut en connaître le terrain et les forces des belligérants. La simulation permet de d’appréhender les systèmes d’armes utilisés, et de découvrir qu’entre des mains expertes et entraînées les équipements militaires correctement employés peuvent limiter les pertes des deux camps… Alors qu’au service de brutes elles deviennent capables des pires atrocités. Donc oui, nous parlons de DCS World et de la guerre virtuelle, oui nous en parlerons encore, mais sans jamais perdre de vue l’aspect terrifiant des conflits réels.

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